La Réflexologie Faciale (Dien-Chan) pour développer le bien-être au travail !

 

Le bien-être dans l’entreprise, un défi productif !

« Un état de stress survient lorsqu’il y a déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face ».

La santé n’est pas l’absence de stress ou de maladie : c’est « un état de complet bien- être physique, mental et social, qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité », selon la définition donnée par l’organisation mondiale de la santé. Si santé égale bien-être, alors les entreprises ne peuvent limiter leur action aux risques psychosociaux. Celle-ci demeure indispensable mais elle n’est qu’un élément d’un enjeu plus large, la valorisation du bien-être des salariés dans l’entreprise.

Il s’agit pour les entreprises d’une démarche à la fois sociale et économique : car la santé des salariés est une source incontestable d’efficacité dans le travail, et donc de performance individuelle et collective. Travail et santé entretiennent même une double relation : d’une part, la santé est la condition d’un travail de qualité. D’autre part, le travail, effectué dans des conditions adéquates, est facteur de santé et de réalisation personnelle.

  Si le stress au travail n’est pas un phénomène nouveau, le terme de risques psychosociaux (stress, incivilités, harcèlement) n’est passé que progressivement dans le vocabulaire courant : ses manifestations, ses conséquences, et sa visibilité se sont parallèlement accrues. Deux chiffres parmi d’autres mettent en évidence cet état de fait : au niveau européen, près d’un tiers des travailleurs estime que sa santé est affectée par le stress ressenti sur le lieu de travail. En France, les consultations pour risque psychosocial sont devenues en 2007 la première cause de consultation pour pathologie professionnelle.

 

Les grandes « familles » de facteurs de stress ont fait l’objet de nombreux travaux d’experts. Dans notre perspective de praticiens, nous retenons en particulier :

- la fréquence accrue des réorganisations, restructurations et changements de périmètre des entreprises, qui impactent tout ou partie de l’organisation et modifient parfois brutalement les conditions dans lesquelles les salariés exercent leur activité ;

- la peur du chômage et l’incertitude sur l’avenir, qui génèrent chez les salariés un sentiment d’insécurité et les rendent plus démunis face aux difficultés rencontrées sur le lieu de travail ;

- l’accélération et l’augmentation des exigences des clients dans une économie fortement tertiarisée depuis trente ans, marquée par de nouveaux modes de services (call centers, guichets, caissières...) ;

- l’utilisation parfois à mauvais escient des nouvelles technologies, qui « cannibalise » les relations humaines : elle fragilise la frontière entre vie privée et vie professionnelle, dépersonnalise la relation de travail au profit d’échanges virtuels et accélère le rapport au temps de travail – introduisant une confusion entre ce qui est urgent et ce qui est important. En une génération, on est passé d’un collectif de travail physiquement réuni à une communauté d’individus connectés mais isolés et éloignés les uns des autres ;

- le développement de nouvelles formes de taylorisme dans le domaine tertiaire. Caractérisées par la standardisation et la parcellisation des tâches et des relations, elles peuvent faire perdre le sens du travail. Lorsque les méthodes de management incitent simultanément à la prise d’initiative, les salariés se trouvent en situation d’injonction paradoxale. Les process doivent rester un moyen : ils ne règlent pas les enjeux humains, qui se jouent dans la proximité du management ;

- l’intériorisation par le management de la financiarisation accrue de l’économie. Elle fait de la performance financière la seule échelle de valeur dans les comportements managériaux et dans la mesure de la performance, sans prise en compte suffisante de la performance sociale ;

- la mondialisation, conjuguée avec une centralisation des organisations, qui éloigne les salariés des centres de décision, décrédibilise le management de proximité et crée un sentiment d’impuissance collective et individuelle ;

- le développement des organisations matricielles et du reporting permanent, ainsi que certains comportements managériaux, qui contribuent au sentiment de perte d’autonomie, d’efficacité et d’utilité des équipes ;

- les difficultés dans les relations de travail, au sein d’une équipe ou avec le supérieur hiérarchique, notamment lorsque l’isolement réduit les occasions d’échange ou d’écoute ;

- les contraintes de transport, notamment dans les grandes agglomérations ou dans les zones géographiques mal desservies, qui créent de nouvelles tensions – surtout lorsqu’elles se cumulent avec des questions d’organisation personnelle qui pèsent particulièrement sur les femmes (modes de garde des enfants etc.) ;

- l’augmentation des attentes en matière de lien social vis-à-vis des entreprises, avec la diminution des autres formes de lien social (famille, école, cité, églises...), qui devient critique lorsque difficultés personnelles et professionnelles se cumulent.

Dans ce contexte, il nous paraît indispensable de repenser des modes de management, d’organisation et de vie sociale dans l’entreprise qui permettent de créer un nouvel équilibre, intégrant la performance tant sociale qu’économique. Si l’entreprise ne fait pas toujours partie du problème, elle fait toujours partie des solutions.


Un des enjeux majeurs de l’entreprise moderne n’est plus simplement d’assurer la croissance de son chiffre d’affaires, mais bien d’assurer le bien-être de ses collaborateurs qui lui consacrent plus d’un tiers de leur temps.

Elle se doit donc de faire face à un défi supplémentaire (en plus d’être compétitive) : inclure cette notion de bien-être et de prise en compte du stress dans son organisation. vaste chantier, dont les concepts et les acteurs sont complexes à appréhender et à articuler. C’est tout un processus, une réorganisation, des marqueurs d’alerte, un travail avec les IRP, CHSCT ; CE ….

Les coûts économiques directs et indirects (absentéïsme, perte de productivité) du stress au travail sont de plus en plus importants.

Bien-être et entreprise sont-ils compatibles ?

Le Stress et le Bien-Être sont des notions subjectives, où l'affect prend une place considérable. Certains vont trouver une situation stressante et pas d'autres et inversement, certains seront apaisés par quelques gestes ou attitudes et d'autres ne ressentiront rien de particulier.
En guise de « solutions », certaines entreprises choisissent de restructurer leurs organisations, cela est souvent perçu comme une forme de "déracinement" ou de "perte de repères". D’autres entreprises choisissent de mieux former leurs managers en leur proposant des activités en groupe pour motiver les équipes ou tout simplement en leur proposant des activités pour décompresser. Il n'est pas rare de trouver dans les CE des grandes entreprises des activités sportives, de relaxation ou même culturelles…

L’objectif de l’individu, lui, est de rester suffisamment à l’écoute de « ses besoins » pour ne pas se faire malmener ou happer par le côté négatif du stress. Une connaissance de soi est donc indispensable pour arbitrer régulièrement ses choix afin de rester collé à ses aspirations. S’occuper de son bien-être apparaît donc comme une évidence et ne relève plus d’un égoïsme forcené, mais cela reste encore souvent occulté par un ensemble de raisons, bonnes ou mauvaises.

Que propose la réflexologie intégrale Dien Chan et l'harmonisation émotionnelle pour l’entreprise ?

En proposant cette technique originale, le Dien Chan Institute souhaite collaborer avec les entreprises qui souhaitent mettre en place un gestion du bien être pour leurs collaborateurs. Sans être la solution idéale à toutes les situations, c'est grâce à une collaboration appropriée que nous pourrons mettre en place un programme visant à améliorer considérablement le bien-être du plus grand nombre.

 

Présentation de la Réflexologie Intégrale Dien Chan : 

La réflexologie Dien Chan consiste à prévenir et réguler différents troubles fonctionnels de l’organisme par le biais de stimulations des différents organes au moyen de pressions sur des zones réflexes du visage et du corps (acupressure). 

Ses moyens d’action consistent à: 

 

Le Réflexologie Faciale est une méthode mise au point il y a une trentaine d’année au Vietnam par le Pr Bùi Quôc Châu. Le praticien de réflexologie Dien-Chan peut utiliser différents outils non invasifs et non intrusifs, utilisés selon les principes du Yin et du Yang en sollicitant des zones réflexes sur le visage.

C’est uniquement par la sollicitation de ces zones réflexes que la réflexologie Dien-Chan permet de rééquilibrer les fonctions de défense du corps (équilibre musculo-squelettique, anxio-dépressif, immunitaire, hormonal...). Ça ne comporte aucun risque direct ou indirect.

Cette méthode ne se substitue en aucun cas à la médecine conventionnelle, mais propose plutôt de travailler en accompagnement.

La particularité de la Réflexologie Intégrale Dien Chan est d’être la seule à travailler en temps réel sur la diminution voire la disparition de la douleur (de façon parfois assez spectaculaire). L’Académie de médecine traditionnelle chinoise de Pékin a reconnu la réflexologie Dien CHan comme étant une des technique de santé naturelle asiatique offrant les résultats les plus immédiats.

Cette méthode est très utilisée et reconnue dans différents pays (Chine, Allemagne, URSS, Mexique, Cuba où elle est reconnue « pratique de santé publique » …) ; près de 15 000 praticiens l’exercent à travers le monde.

Kinésithérapeutes, Ostéopathes, Infirmières, Médecins, Praticiens du bien-être…. Utilisent quotidiennement cette technique en complément de leur spécialité.

Devant les effets constatés, avec une formation intégrale, certains praticiens ont choisi d'en faire leur spécialité. Ils proposent un accompagnement complet grâce à cette méthode.

 

Pourquoi proposer la réflexologie faciale en entreprise ?

Parce qu’on attend de l’entreprise qu’elle mette en place des services vertueux pour ses collaborateurs, par le biais de prestations qui leur permettent de décompresser, la Réflexologie Faciale en entreprise répond parfaitement à cette demande spécifique, ce qui lui permet de faire preuve d’originalité dans la mise en place d’actions de prévention des risques psycho-sociaux.

Cette technique est adaptée aux impératifs du monde du travail : simplicité, originalité et efficacité.

Nous pouvons vous la proposer sous 2 aspects :

Le premier : par le biais de la formation continue en entreprise (DIF ou formation permanente), les salariés (en groupe de 16 personnes maximum) peuvent se former à cette méthode pour se soigner eux-même et leur famille. Avec les 3 premiers niveaux de connaissance de cette technique (42 heures de formation réparties en 6 jours ou 12 demi-journées), les stagiaires pourront traiter les problèmes les plus courants de santé familiale et de gestion du stress.

Le second : En courtes séances individuelles de 20 minutes : l’individu étant assis sur une chaise et habillé. Donc accessible à tous.

En entreprise, le Dien-Chan permet non seulement la prise en charge de la douleur (musculaire, émotionnelle, post traumatique) mais surtout, cette approche réflexologique apporte une aide réelle dans la gestion du stress, pour une meilleure concentration, pour développer ses capacités de mémoire, ou simplement en prévention et hygiène de vie.
La régularité des séances permet un travail extrêmement efficace.


Pourquoi proposer la Réflexologie Faciale à ses collaborateurs ?

Cette méthode n’est pas un « gadget » ni un effet de mode ; c’est un véritable outils que des millions de personnes dans le monde utilisent quotidiennement.


LES ATOUTS DE LA METHODE:

Une mise en place très facile :


Des effets immédiats et mesurables:


Préparation et récupération sportive :


Une pratique préventive :


Un Respect de l’Ethique et des Libertés


Combien de séances pour être efficace ?

« Tuy » en Vietnamien signifie « ça dépend ».

On ne sait jamais ce qui va se passer, ce qui va « marcher » pour tel ou tel individu. Pour certains, 1 séance pourra produire un effet extraordinaire, alors que d’autres individus auront besoin de plusieurs séances. En règle générale, il faut compter 2 à 3 séances pour mesurer des effets complets dans le cadre d’une demande bien spécifique et bien cernée. Le plus souvent, 1 séance suffit pour résoudre des problèmes plus « mécaniques », comme ceux liés à une douleur, une tension ou une gêne.


En résumé :

Le prise en compte du bien-être dans l’entreprise est donc un sujet majeur pour garantir le bon équilibre physique, psychologique et social de ces collaborateurs. Le Dien-Chan est reconnu comme étant une technique efficace pouvant apporter une vraie plus-value, voir même, une petite révolution pour ceux qui l’expérimentent.

Tout personne est donc potentiellement concernée par un des aspects de la réflexologie faciale, que ce soit pour de la détente, en prévention, ou dans le cadre d’une demande bien ciblée.


1 Accord national interprofessionnel du 2 juillet 2008 sur le stress au travail.

2 Source : fondation de Dublin.

3 Source : AFSSET, réseau national de vigilance et de prévention des pathologies professionnelles.

4 Se dit de la situation où l’individu est confronté à deux contraintes qui s’opposent et dont chacune empêche la réalisation de l’autre (exemple : respecter un mode de travail normé et faire preuve d’initiative).